ça y est ! C’est fait !
La Rand’O Loire était la première grosse organisation de Boussole en Forez depuis plusieurs années.
Autant dire que notre soulagement était grand, le 25 au soir, après un super WE.
Près de 120 personnes sont venues sur les 5 circuits proposés. C’est la seule ombre au tableau : nous méritions plus de monde.
La -seulement- 2e course d’orientation ligérienne de l’année 2014 (on ne peut pas dire que le calendrier soit très fourni) était en concurrence avec une course sur le plateau du Revard qui a réuni 300 orienteurs sur un terrain exceptionnel. Seuls 21 licenciés FFCO s’étaient déplacés dans les monts du Forez sur un terrain et des tracés qui méritaient mieux. Vraiment rageant. Nous avons heureusement permis à un public local de découvrir notre activité.
Tout avait commencé il y a plusieurs semaines pour les traceurs. Les contraintes étaient nombreuses (zone gelée, carte de 2007, surface de course étendue…). Les coureurs ont apprécié les parcours proposés par Aloïs. La partie technique a été menée de main de maître grâce à son engagement.
Toute l’organisation a été également facilitée par les infrastructures proposées par le Conseil Général à travers la station de Chalmazel. La salle hors-sac et les dortoirs sont des conditions d’accueil « luxueuses » pour un sport de pleine nature comme le nôtre.
Les différents ateliers ont été tenus efficacement : accueil, pose/dépose, départ/arrivée, récompenses, le tout dans une convivialité affichée… elle va devenir notre marque de fabrique. On peut décerner une mention spéciale à Christian qui a passé son WE derrière un ordinateur pour assurer la GEC (Gros Emmerdements Certifiés ?). La présence de Thomas Rouiller a été déterminante pour rassurer le président. Un grand merci au pélussinois dont l’expertise a été précieuse. En attendant que Claire et Marie, après leur formation, ne transforment la GEC en Groupe Entraîné aux Commérages !
En vrac, on rappellera la grande finesse poétique qui anima la soirée du samedi, le magret de Thierry, Les côtes du Rhône de Jean-Paul, l’indien et le cow-boy de Gaspard, le petit oiseau sorti sous le col du Béal, les courses de côte de Titouan et Basile, le ménage d’Eric qui a rendu le dortoir plus propre qu’il n’avait jamais été, le resto des apparatchiks de Boussole, la balade de Camille, la première chute de monocycle d’Alain, le cobalisage de Marianne et Geneviève, le maraudage de tarte de Pierre, la recherche du petit oiseau par Jacqueline et Éliane (parait qu’il fêtait les mères), les confitures très originales servies par Cécile, la comptabilité en direct du trésorier, les encouragements de Nico aux coureurs, l’impression réconfortante des circuits F, la liaison téléphonique de Guilhem… Bref, plein de bons moments partagés (heu, oui Anne-Lise, il y a un intrus).
A nous de les reproduire, sans pour autant épuiser nos forces. Il nous faut durer, pour organiser un jour -qui sait- les trois jours de Chalmazel.